jeudi 24 septembre 2015

Journée du 23 septembre 2015.

Par : Antoine, Chantal , René Jean-Marc

C’est le jour des « premières », depuis le départ :
  • Lever à 7 heures. Grasse matinée…
  • Bains de mer
  • Etape de 32 km
  • Déjeuner au restaurant

Le départ retardé par les réglages techniques effectués par Daniel sur des vélos fait le bonheur de tous.
 
 
Nous quittons à regrets la baie de Slano, petit coin de paradis où l’on aurait voulu volontiers prolonger notre séjour. Petite côte d’Azur que nous saluons une dernière fois du haut de la grande falaise.
 
 
 
 
 
 
 

Nous rencontrons sur le camping par la suite au détour d’un virage, nous rattrapons une jeune parisienne (Aude) qui fait du cyclo-camping en solitaire.
 

Bientôt, les belles villas sont remplacées par une nature sauvage parsemées de criques, de végétation, nombreuses îles dans l’eau d’un bleue intense à la couleur turquoise.
 
 
 

Un viaduc haubané ouvre les portes de Dubrovnik. On se retrouve tous au port.
 
 

Après le déjeuner, visite de la vieille ville protégée par d’imposants remparts.
 
 
 
 
 
 
Le conflit a touché Dubrovnik en 1990 et 1991.
 
 
 
 
 
La rue centrale pleine de boutiques, les venelles latérales pleines de restaurants. En chemin, sur un treillage des centaines de cadenas comme sur le pont des arts à Paris.
 
Philippe et Patrick profitent de la wifi dans un bar pour mettre à jour le blog.
 

C’est déjà l’heure de se présenter à l’embarquement du ferry.
 
 

 
 
 

 
 

 
 

 

 
 


Clin d’œil

Roger



C’est notre super cuisinier

A ses gamelles affairé

Sa longue barbe poivre et sel

Lui donne un air de patriarche.

A l’écoute, toujours en marche,

Il sert le pain avec le miel,

Les haricots et les tomates,

Les côtelettes avec les pâtes.

Son bel accent de Perpignan

Lui met du soleil dans la voix

Et quand il rit entre ses dents

Il a le don de mettre en joie.



Poème du jour :


Quand tu écris :

Comme une vague aux doigts d'écume

Qui poétise sur le sable

La musique sourd de ta plume

En harmoniques délectables.


Tes mots balancés en cadence,

Mettent en éveil : ils ont du sens.

Tu n'écris pas m'importe quoi

Pour communiquer tes émois.


J'aime te lire et t'écouter

Quand tu me dis les chants des blés

Les eaux du lac, un ciel d'été

Les étoiles et la lune bistrée.


Tu égratignes les nuages

Qui roulent sur un fond d'orage.

Tu captes le temps des lilas

Les ardeurs des épicéas.


Tu croques les ébats des cygnes

Le vol des mouettes rieuses.

C'est une image à chaque ligne

Une aubade mélodieuse.

Antoine (23 août 2009)

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